Un migrant peut en cacher un autre : l’invasion continue, portée par le soutien actif d’associations telles qu’Utopia, financées largement par l’argent public. Ces structures, bénéficiant de subventions conséquentes issues de nos impôts, facilitent l’accueil, l’hébergement et l’accompagnement administratif de milliers de migrants chaque année. Leur action ne se limite pas à l’aide humanitaire : elles participent activement à la régularisation de personnes en situation irrégulière, multipliant les recours juridiques et les pressions sur les pouvoirs publics.

Dans le département du DOUBS, la situation devient critique. Les arrivées se succèdent, les dispositifs d’accueil explosent, les tensions locales montent. Les communes déjà fragilisées par la crise économique voient leurs capacités d’accueil saturées, et la population locale exprime une inquiétude croissante face à la transformation rapide de son environnement.

RECONQUÊTE DOUBS alerte une nouvelle fois sur l’ampleur du phénomène et ses conséquences. Et dénonce une gestion laxiste de l’immigration, une dilution de l’autorité républicaine et l’opacité entourant le financement des associations pro-migrants. RECONQUETE DOUBS réclame un audit transparent des subventions accordées, la suspension immédiate de tout financement public à ces structures, et un retour à une politique migratoire ferme, centrée sur la défense des intérêts nationaux.

L’inaction des autorités, combinée à l’activisme d’associations subventionnées, favorise une dynamique d’installations continues, dont les répercussions sur la cohésion sociale et la sécurité ne cessent de s’aggraver. RECONQUÊTE DOUBS insiste : il est urgent de reprendre le contrôle.

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